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| Claire Duquesnois |
Mon interview du 10 mars 2007 :
https://www.chambe-aix.com/musique/entretien/claire_duquesnois.html
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| Claire Duquesnois |
Mon interview du 10 mars 2007 :
https://www.chambe-aix.com/musique/entretien/claire_duquesnois.html
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| Géraldine Cacciatore |
Mon interview du 21 février 2007 :
https://www.chambe-aix.com/musique/entretien/geraldine_cacciatore.html
Hier soir, j’ai regardé le début du concert sur Arte. Je me suis arrêté après Wang, parce que le ténor qui suivait est, pour moi, sans intérêt (voix sans couleur, froideur, monotonie). Un ténor, ce ne sont pas des aigus stridents. Yuja Wang, devenue femme, a été à son image, l’image de son visage où la musique vit si intensément que le son n’est même pas obligé. Dommage que le chef qui a tant de succès au MET, alterne les mièvreries et les coups de poings. Le Concerto pour piano n°1 de Tchaïkovski, c’est Horowitz-Toscanini ou Richter-Karajan. Hier soir, c’était Wang, la pianiste d’aujourd’hui que je préfère avec Martha Argerich. Ce concert, le premier du Philharmonique de Vienne - aux pâles sonorités - à l’Opéra de Paris, était le produit d’une succession très inégale d’artistes peu aidés par un chef sans conviction.
La Société des Concerts du Conservatoire organisait le Mardi 19 mars 1974 à 20 heures 30, au théâtre du Palais de Savoie, dans le cadre de ses concerts d’abonnement, un concert exceptionnel avec le Quatuor Parrenin, composé de Jacques Parrenin, violon 1, Jacques Gestem, violon 2, Gérard Caussé, alto, Pierre Pénassou, violoncelle.
Au programme, le Quatuor n°6, op18 en si bémol majeur, de Ludwig van Beethoven ; Le Quatuor n°1, op25 en sol mineur, de Johannes Brahms ; le Quatuor n°1, op47, de Jean Martinon.
Jean Nonglaton, le critique du Dauphiné Libéré, a souligné la cohésion, la musicalité, la virtuosité, la sensibilité et l’enthousiasme des talentueux musiciens.
Conservatoire municipal de musique d’Aix-les-Bains (Savoie)
Hervé Gallien, directeur (1969-2004)
Société des Concerts du Conservatoire
Hervé Gallien, directeur artistique
Concert, donné en 1970, par les élèves, les professeurs et l’ensemble vocal du Conservatoire municipal de musique d’Aix-les-Bains (Savoie). Sur la photo, la dernière prestation de Renzo Ferrai, professeur de violoncelle et guitare, avant sa retraite. Renzo Ferrari est le grand-père de Laurence Ferrari, journaliste Cnews/Europe1, et le père de Gratien Ferrari, ancien député-maire de la Savoie, père de Laurence.
Conservatoire municipal de musique d’Aix-les-Bains (Savoie)
Hervé Gallien, directeur (1969-2004)
De grand, il n’y a que le nom. Cette chronique de gens ordinaires altère l’image de l’icône. Martha ne sait pas. Elle rêve quand elle ne joue pas, un rêve en dehors des clous où même l’instinct maternel parait en monstre désuet. Sa vie est un chaos. Elle le dit : « Je ne sais pas ! », et c’est sans doute la force du film.
les mensonges boutés par la vague
engloutissent les pensées
qui hors des vérités
périssent par la dague
poèmes improvisés en vers ou parfois en prose
hag
Lui – Qu’est-ce que c’est que cette histoire de pommes ?
Elle - On travaille ensemble on salue ensemble on arrête avec ce protocole du salut un par un cette espèce de course frénétique à l’applaudimètre je pouffe quand je vois le gros ténor qui a chanté l’air de sa mort fortissimo-hurlando-gueulando venir comme un paon exultant dans la basse-cour recevoir une bénédiction hystérique dans le délire d’un standing ovation du public qui s’applaudit lui-même quelle corrida voilà opéra même combat on écoute La Traviata avec une fureur sereine on lynchera la soprano si elle escamote son ré bémol
Extrait de « Italienne scène et orchestre » de Jean-François Sivadier
dans la forêt se cache un arbre
mais aussi un puits
ils effacent la nuit
quand on les regarde
poèmes improvisés en vers
ou parfois en prose
haG