De grand, il n’y a que le nom. Cette chronique de gens ordinaires altère l’image de l’icône. Martha ne sait pas. Elle rêve quand elle ne joue pas, un rêve en dehors des clous où même l’instinct maternel parait en monstre désuet. Sa vie est un chaos. Elle le dit : « Je ne sais pas ! », et c’est sans doute la force du film.

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